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YOU-ARE-VICIOUS

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Au début, il y avait une fille. Puis, il y en eu une autre. Puis, il y eu un garçons. Puis il y eu le sexe. Puis, il y eu la drogue. Puis, il y eu l'amour. Puis, il y eu la haine. Puis, il y eu la mort.

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Amis névrosé, bienvenue.

"Au début, il y avait une fille. Puis, il y en eu une autre. Puis, il y eu un garçons. Puis il y eu le sexe. Puis, il y eu la drogue. Puis, il y eu l'amour. Puis, il y eu la haine. Puis, il y eu la mort." VICIOUS.
 
Il y a peu j'ai pris une décision, pas une décision décisive pour la vie, mais quand même une décision, je veux écrire un livre. Un livre oui je sais, c'est vite dit, je ne suis encore qu'une humble lycéenne mordu de littérature et d'écriture depuis des années qui écris plutôt pour le plaisir, mais j'ai depuis toujours, ce sentiment de plus. Je veux plus, je veux une vie grandiose, fabuleuse, fantastique, je ne veux pas rester à croupir comme les trois quart de cette population dans un petit confort ou dans une petite pauvreté, je veux plus, je veux grand. On a jamais trop d'ambition dans la vie. Alors, je ne prétend pas savoir bien écrire, je ne prétend pas non plus que mon histoire plaira, je prétend juste devenir une grande écrivain qui publira son premeir livre très jeune et qui aura plus jamais besoin de bosser de sa vie et donc qui pourra glander le restant de ses jours.(Y)
(Si il y a une quelconque question ou suggestion, je suis ouverte à tout. Les images misent avec le texte sont en rapport mais ne sont pas de moi mais de Devianart et elles seront changées si j'en trouve de plus jolie.)
Aurore. A Bonjour.
Amis névrosé, bienvenue.
Photo changeante.
PS: Je donne mon facebook à ceux qui le demande.
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#Posté le vendredi 29 juillet 2011 08:28

Modifié le mardi 02 août 2011 14:10

Chapitre 1: J'aurai du rater le bus.

-"Ditez votre nom et prénom.." Chapitre 1: J'aurai du rater le bus.
-"Alice Alabert."
-"Quel âge avez-vous Alice?"
-"18 ans."
-"Vous savez pourquoi vous êtes là Alice?.."
-" Oui docteur."
-"Alors Alice, si vous commenciez par me raconter tout ça.."
Raconter.. Raconter, réciter, expliquer, formuler, dire, toujours les même choses, toujours la même histoire, avec les même questions. Vôtre âge, "savez-vous pourquoi vous êtes ici?". Votre nom. Plus rien ne vous appartiens à la fin.
J'ai toujours pensé que ce serait-elle qui finirait ici, mais si il y a bien une leçon que je retiens de la vie, c'est que tout est, était et sera imprévisible. On aura beau se battre pour organiser les choses, faire un plans, exécuter le tout dans l'ordre, dans les règles, pour aucune surprise, la vie sera toujours plus puissante que nous autres les hommes, la vie est, était et sera toujours imprévisible. 
3 septembre 2009. Paris IX. Rentrée Scolaire.Chapitre 1: J'aurai du rater le bus.

Et ci ce matin là j'avais décidé de prendre le métro à la place de ce foutu bus? Et ci ce matin là j'avais décidé de loupé cet enfoiré de bus? Alors peut-être n'aurait-elle jamais existé. Peut-être ne serait-elle jamais entrée dans ma vie.
Mais non, ce matin là je m'étais levé à 6h, j'avais bu mon jus d'orange, je m'étais habillé, j'avais pris mon sac et mes clés, j'avais fermé la porte et j'étais parti pour mon nouvelle endroit de tyrannie, mon lycée. J'avais attendu le bus dans le froid matinal, récent et légérement inhabituel pour un mois de septembre pendant 10 minutes à côté d'une vielle dame avec un chariot et un mentaux à carreaux, j'étais monté, avais passé ma carte indigo dans la fente et m'étais serré contre tout un tas de gens pour la plus part encore endormie courant à leurs travaux tel de petites fourmis. Je m'étais collé contre une fenêtre du bus, sac en avant près à défier ceux qui aurait voulu me chercher et attendu que ma demi heure de trajet à présent journalière se termine. 
Et puis j'étais tombé sur elle. Balayant du regard l'espace bondé, je l'avais vu elle. Parfois dans le bus que j'étais seule, il m'arrivais de prendre du regard une personne au hasard et de me mettre à lui inventer une vie, ça passait le temps.
Elle était là, assise à côté d'un vieux monsieur à l'apparence trompeuse du Père Noël, elle avait l'airChapitre 1: J'aurai du rater le bus.petite, ses cheveux étaient coupés au carré et enlaçaient son visage de sorte à ce qu'on ne remarque réellement que chez elle ses joues rosées par le froid. Elle portait un jean déchiré, usé jusqu'à la moelle, je lui aurais bien donné le mien tien. Et, contrairement à la plus part des gens qui se trouvaient à l'intérieur du bus, elle ne portait pas de mentaux mais un simple t-shirt trop grand pour elle. Son côté punk et garçon manqué faisait assez peur mais elle était jolie. Jolie à sa façon, jolie pas comme toutes ces filles à qui ont dit qu'elles sont jolies parce qu'elles font du 95C, parce qu'elles ont de grandes jambes, un ventre plat, un visage de déesse, un sourire de star et une chevelure de sirène non. Elle, elle avait l'air petite et disproportionné du haut et du bas du corps, elle avait un visage trop fin et un nez trop proéminent mais elle, pour moi elle était belle. Je lui inventai une vie, je l'imaginais petite fille rebelle, effronté, sûre d'elle, je l'imaginais avec des parents qui se disputaient tout le temps et que, çela, son look, c'était sa façon à elle de se rebeller. Je l'imaginais artiste, je l'imaginais écoutant du hard-rock et puis d'un seul coup je ne l'imaginai plus tout simplement car elle était descendu. J'avais senti le bus re-démarrer  quand je m'étais aperçu que cet arrêt, c'était l'arrête de mon lycée. [...]
Et ci je ne m'en serai pas aperçu? Et ci je n'avais pas couru? Et ci j'avais décidé de repartir chez moi? ...
Non, j'étais descendu en courant à l'arrêt suivant, j'avais couru comme une dératé, j'étais arrivé 5 minutes après la sonnerie, j'avais repéré mon nom et ma classe sur le tableau en un rapide coup d'oeil, avais rejoins ma classe sans mal, je ne sais par quel coup de chance et j'avais vu Léa Martin, j'avais été rassuré. J'avais attendu l'appel, écoutant si mon nom de famille faisait bien parti de la liste, je l'avais entendu, je pouvais enfin me laissais aller. A la fin de l'heure Léa Martin, une ancienne camarade de classe de l'an dernier dans le style "fille jolie" mais un peu petite par apport à la norme, toute heureuse et toute joyeuse m'avait rejoins en sautillant tel un petit caniche et m'avait sauté dans les bras me collant de baisers à tout va. Elle m'avait épilogué le long de notre chemin vers la salle de classe suivante toute la peur qu'elle avait eu quand elle ne m'avait pas vu arriver et tout le soulagement qu'elle avait ressenti quand elle m'avait vu à la fin du cortège de notre classe qui rentrait en cours. Elle m'expliquai qu'elle avait presque paniqué quand elle avait vu que j'étais la seule personne qu'elle connaissait réellement et que les autres n'était que des connaissances de l'an passé et encore, pas pour un quart de la classe. Nous nous étions rendu au cours suivant ensemble, moi dans le silence, elle à m'énumérait le noms et les impressions qu'elles c'était déjà faite sur les autres personnes de la classe. Cette fille me faisait rire. Léa n'étais pas vraiment mon "style de fille", elle, elle était populaire, jolie, elle connaissait tout le monde, faisait la bise à des centaines de personnes par jour, se recoiffait et se remaquillait entre chaque cours. C'était juste une  fille parmi tant d'autres qui s'était retrouvée  dans ma classe l'an dernier, venant se présenter de sorte à être connu de tous. Elle n'étais pas méchante et pas bête, elle ne me ressemblait juste pas vraiment. Moi, j'étais et suis encore le genre de fille qu'on ne remarque pas, peu enChapitre 1: J'aurai du rater le bus.tout cas. Je n'étais et suis, ni trop grande, ni trop petite, j'avais et ai toujours de trop gros seins, des jambes monstrueusement musclées pour une fille et des cheveux blond couleur blé. Je parlais peu, pensais beaucoup, travaillais bien, avais peu d'amis mais retenais le nom de tous le monde, exécutait sans dire mot en m'appliquant, j'étais sage et docile, si personne ne me cherchais, je ne cherchais personne. Léa et moi étions incompatibles, elle le savait très bien, mais, elle m'aimait bien. 
La récréation, Léa avait passée son temps à me trimballer d'ami en ami, de connaissances en inconnus, j'avais du dire bonjour à mon tour, faire la bise et parler, alors que d'habitude jamais je ne l'aurais fait. La sonnerie avait retenti, nous devions nous dirigé vers la classe de physique-chimie lorsque devant nousChapitre 1: J'aurai du rater le bus. passa deux garçons assez similaire. Look dandy, sourire ultra bright et démarche d'homme assuré. Léa avait pris mon bras simulant une attaque cardiaque, elle articula "A-DRI-EN"? Je n'avais pas bien compris son geste sur le coup quand je pensais soudain que ça devait être son nouveau coup de foudre de la rentrée. Et soudain, elle c'était lancée dans un monologue enjoué. 
-" Tu vois Alice, l'apollon qui vient de passer c'est Adrien Bertignac, c'est THE beau garçon de la classe et.. Mon objectif de l'année."
Etonné je m'étais légèrement écrié 
-"Il est dans notre classe?"
Surprise elle m'avait dévisagée comme si je venais de lui annoncé que la terre était plate.
-"Attend Alice, tu ne vas pas me dire que tu ne t'ai pas rendu compte qu'il était dans notre classe?!"
Je lui fis signe que non, un peu embêté mais en réalité à part Léa, je n'avais remarqué personne d'autre.
Elle avait émis un hoquet de surprisse et un petite rire de lutin puis, nous étions entré en cours.
A l'arrivée le professeur nous annonça que ce serait lui qui placerait les élèves pour éviter toute cohu-bohu. J'entendis rapidement mon nom puis celui des deux personne qui devait venir s'asseoir à côté de moi. Adrien Bertignac. June Callery. 
Mon coeur s'était arrêté de battre, mon sang s'était glacé, c'était elle. Elle, la fille du bus.
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#Posté le vendredi 29 juillet 2011 11:30

Modifié le vendredi 29 juillet 2011 12:09

Chapitre 2: Ce jour là ou je suis devenu folle de toi

Chapitre 2: Ce jour là ou je suis devenu folle de toi-"Alors dites moi Alice, comme êtes vous devenu amie avec June?"
Ami.. Ami, camarade, compagnon, copain, compaire, acolyte. June n'avait pas d'ami, June Callery ne pouvait avoir d'ami. June avait des connaissances, elle avait des noms de gens dans la tête, elle se souvenait de certains visages, mais June n'avait pas d'ami. Je me souviens d'il y a une fois, c'était il y à longtemps, je ne sais plus quand, elle m'avais dit, "Tu sais Alice, m'en veut pas si je suis pas une bonne amie okay.. Parce que, être une amie, je sais pas ce que c'est moi. Je suppose que c'est se prendre dans les bras quand quelque chose ne va pas ou se réconforter avec des mots doux mais moi, moi je sais pas faire ça Alice.. Moi je saurai te donner quelque chose de bien pratique pour partir loin.. loin de tous tes soucies, moi je saurai aller péter la geule de celui qui t'as fait mal, moi je saurai te raconter la blague du chien magique, mais moi je serai jamais une amie Alice.. Parce que dans le fond, on a pas d'ami.. On n'est toujours tout seul dans la vie."
Mardi 26 novembre 2009
Ca faisait quoi, 3 mois? oui, 3 mois. 3 mois que je passais à épier le moindre de ses faits et des ses gestes, trois mois que je la regardais, dans la cours, à la cantine, pendant sa pause cigarette, en français, en math, en histoire, en physique-chimie.. 3 mois que je passait à côté d'elle sans bouger de peur de la froisser, de l'effleurer, de la toucher. C'est à peine si je respirait par mégarde qu'elle trouve que cela neChapitre 2: Ce jour là ou je suis devenu folle de toi face trop de bruit. 3 mois que je l'imaginais, la dessinait. Lorsqu'elle me passait des copies, je lui disait merci en baissant la tête, lorsqu'elle me demandais stylo, ciseaux, qu'importe je lui donnais dans un silence religieux. Souvent je regardais ses traits,ses vêtements, son visages, j'observais, je décryptais ses expréssions, parfois elle avait l'air anxieuse, d'autre fois, fatigué, d'autre fois rêveuse, souvent triste, mais jamais, je dis bien jamais je n'avais encore vu apparaître sur le visage de June le moindre petit sourire. Elle était là, silencieuse, absente, charismatique, elle était seule, toujours seule. Elle ne parlait à personne, n'avait pas d'ami, pas d'attache, pas de cahiers, pas de stylo, et toujours pas de mentaux. Les professeurs avaient tentés de la faire parler en début d'année, mais quand ils l'interrogeaient c'était toujours la même scène, elle levait sur eux son regard chardonné de noir, ses petits yeux dédaigneux les fixés l'air de dire "Qu'est que tu me veux encore? Tu vois pas que je suis bien là, je suis au chaud tranquille, j'écoute, je rêve, je fais chier personne alors que personne ne me face chier." Et c'était toujours le professeur qui repartait perdant de ce duel de regard bafouillant quelques mots et se prenant les pieds dedans du style "Tu .. Tu ne 'sais pas .. Bon alors demandons à quelqu'un d'autre."  Et moi j'étais là, si proche d'elle mais pourtant si éloigné, je vivais par procuration une passion que j'étais seule à partager. Personne ne lui parlait, tout le monde l'évitait, elle n'était pas de bonne fréquentation, et ce qui était là dedans le plus redondant, c'était les discours de Léa sur June. Je me suis battu pour June, j'ai défendu June, bec et ongles. Certe plutôt bec que ongles mais c'était déjà ça. Une fois, je dis bien une fois je m'étais rebellé, j'avais haussé la voix face à Léa, j'avais pris la défense de June. Un jour par accident, Léa c'était heurté contre elle, elle m'avait rejoins et avait recommencé son éternel et même monologue la concernant. 
-"Je sens vraiment pas c'te fille. Vraiment elle est si.. Bizarre! Tu la trouve pas bizarre toi Alice? Moi je me la sens pas honnêtement. Et si je sens pas quelqu'un, ça veut dire que généralement je me trompe pas sur compte! C'te fille elle m'inspire pas confiance! En plus t'as vu ses fringues? On dirait qu'elles recycle celles de son frères! Cette fille ça doit être une drogué! En plus ça se voit sur elle, sur son visage! Si ça ça finira pas prostitué à Barbes! Ca s'trouve elle l'est déjà! Ca m'étonnerai même pas!"
Je m'étais arrêté de marcher, l'avais attrapé par le bras et l'avais serré de toutes mes forces de sorte à ce qu'elle se retourne et me face face. Comment osait-elle? Comment osait-elle s'en prendre à une fille aussi intouchable que June? Elle qui face à June n'étais rien qu'une misérable créature semblable au trois quart des filles sur terre.
-" Ca suffit Léa! Là, vraiment, j'en ai marre! Je taime beaucoup Léa mais là ça suffit! Comment tu peut dire ça sur elle? Comment? Tu ne la connais même pas! Ca se trouve elle à toutes les misère de la vie sur elle et toi tu ose la critiquer ainsi! Qui te dit que justement elle a pas un petit frère à éduquer car sa mère est gravement malade et ses pour ça qu'elle se prostitue ? Hein? Tu ne sais rien Léa, tu ne sais rien sur personne et tu n'arrête pas de parler sur tout le monde alors que tu ne te regarde même pas avant!"
Elle était resté là, immobile, bouche bée, stupéfaite et honteuse de la scène que je venais de lui faire en criant et en l'affichant devant une bonne parti de lycéens. Elle avait pris 2 min, avait tournée des talons et était parti à la recherche "d'ami" compatissant à qui raconter l'affront qu'elle venait de subir, elle, Léa Martin, par une simple petit aspirante à qui elle donnait tout depuis le début de l'année. Et le silence dans lequel elle était parti c'était prolongé dès jours entiers. Pendant près d'une semaine, je n'eut plus a supporter ses jacquaillment sur un tel ou un tel. Au début, je m'en fichais pas mal, j'étais plutôt tranquil, j'avais retrouvé mon calme et mon silence habituelle, puis je m'étais aperçus que sans sa voix, sans sa présence imposante il me restais un vide,  un vide qui fût comblé un jeudi 1 Décembre 2009 à 11h30 en physique-chimie. C'était la dernière heure de la matinée avant le déjeuner, une vingtaine de corps chétif de jeunes gissait soit endormie, soit sur-excité dans la classe et moi, j'étais toujours à côté elle. J'étais assise, les fesses serrés, le regard lourd sur le tableau, l'esprit qui divaguait à cent mille à l'heure lorsque le professeur, un homme âgée d'une cinquantaine d'année à la bedaine assez proéminente au teint plutôt rouge du fait qu'il abusait soit disant trop de la bibine d'après les dires de Léa,  fît une petite annonce dont il semblait pas peu fière avec à l'intérieur un petit discours près-écris depuis des années sur les fameuse vacances de Noël.
-" Mes chers petit élèves à moi, je sais que vous êtes tous très fatigués, que les vacances de Noël approchent à grand pas et que forcément, vous comptez tous énormément dessus pour vous reposez un maximum et vous la coulez douce durant deux semaines mais moi, votre cher professeur de physique préféré, vous vous doutes bien que j'en ai décidé autrement! C'est pourquoi pour après les vacances je vous donne, attention roulement de tambours s'il vous plaît... Un EXPOSE!  " 
Mr Shunman était apparemment vraiment très fière de son annonce qui pour le coup avait réveillé toutes la classe, car d'autre vaisseaux sanguins de son visage venaient sûrement d'explosés ce qui lui donna le teint encore plus pourpre. Puis, il reprit la parole.
-" Je sais que vous m'aimez mes chers petit! C'est pourquoi vous aurez le choix d'un sujet libre et d'un support libre, je n'impose rien mais je veux juste que ça soit intéressent et que vous y mentiez du coeur! Oh et en faite si, il y a une toute petite condition, vous vous doutez que je ne vais pas vous laissez le loisir de choisir  vos partenaires, c'est donc pourquoi j'ai décidé que vous serez par équipe de trois et ces équipes de trois seront constitués de votre tabler." Ils souriait, heureux de la bombe qu'il venait de lancé dans la classe, jubilant à l'idée que tout ces petits jeunes pouvaient le détesté. Je réfléchissait. Je réfléchissait au sujet, je me tatais entre les ondes progressive périodique ou l'oscillation libre dans un circuit RLC, je réfléchissait à comment présenter cela, je réfléchissait à combien d'heure de travail cela aller me prendre quand soudain, j'avais réfléchit que ma tabler à moi, elle était constitué de Adrien Bertignac, le fameux, le fabuleux, le dandy, le junkie, le voyoux, le cascou, le charmeur, le loveur  Adrien Bertignac et de June. Soudainement comme si elle avait entendu mentalement son nom se prononcer à l'intérieure de ma tête elle se recula sur sa chaise de sorte à ce qu'Adrien contemple aussi la scène, ouvrit la bouche et sorti pour la première fois depuis 3 mois ses premiers mots.
-"Bon, faites ce que vous voulez, moi je m'en bat bien les couilles de tous ça, je vais pas travailler et encore moins faire semblant, au moment de le présenter vous pourrez dire que j'ai rien foutu et qu'il m'exclu en me foutant un zéro, ça m'importe peu."
Je croyais avoir rêvé, pour la première de ma vie j'avais entendu la voix, la fameuse voix de JuneChapitre 2: Ce jour là ou je suis devenu folle de toi Callery, elle avait une voix un peu roque et assez basse, elle parlait lentement en articulant et ne regardais pas ses interlocuteurs, elle avait dit une phrase et puis c'était tout, on ne n'en tirerai pas plus. Je la contemplait muette, comme si elle venait de me chanter un morceau de Maria Callas quand tout un coup Adrien avait pris la parole en balance sa tête de gauche à droite pour montrer son désacord.
-"Hors de question, tu vas bosser comme nous, autant que nous avec nous. Maintenant on est une équipe, on travail ensemble et on a une super note point. Et j'te laisse pas l'choix." 
Elle c'était affalée un peu plus sur sa chaise en signe de soumission et n'avais pas pipé mot, je venais de voir là sous mes yeux, June Callery, la fille qui me paraissait la plus intouchable, la plus fière, la plus borné et la plus non docile du monde se soumettre à ce crétin sans nom qui se prenait pour monsieur JE parce qu'il avait toutes les filles du monde. Il reprit la parole toujours aussi convaincu comme s'il se devait d'être l'homme de la situation qui prend les choses en main.
-" Bon très bien, je propose qu'on s'y mette de suite, par exemple la semaine prochaine, plus vite on aura commencer, plus vite on aura fini et on sera débarrassé de ça pour les vacances. Chez moi c'est pas possible, j'ai pas internet et chez June, c'est impossible alors.. Alice, se serait bon chez toi? "
J'avais à peine réfléchit, feignant la non-challence habituel, et avait répondu oui. Simplement oui.
Il avait sourit, dans le style sourire de star dragueur au coin des lèvres et m'avait tendu un bout de papier en me faisant un clin d'oeil.
-" Ca, c'est mon numéro, j'te tiendrai au courant okay."
Chapitre 2: Ce jour là ou je suis devenu folle de toiLa sonnerie avait retenti, les élèves c'était pressés vers la porte, l'heure du repas avait sonné. June était partie en coup de vent, c'est à peine si je l'avais vu prendre ses affaires et Adrien traînait avec un garçon de la classe quand soudain Léa apparut sur mon flanc droit, avec une petite voix, elle commença à parler.
-"Je suis désolé Al pour la semaine dernière.. Excuse moi, j'me suis mal comporter t'avais raison, j'parle un peu trop sur les gens et j'comprend que ça t'énerve. Excuse moi.. Vraiment, mais j'ai pas envies que notre amitier soit gâché à cause d'une stupide histoire comme ça.. Alors.. Amie?"
Je l'avais regardé un peu étonné, je l'avais même un peu prise en pitier et lui avait répété, amie. 
Le lendemain soir de cette journée plutôt mouvementé j'avais reçu un message d'Adrien.
"Salut Alice c'est Adrien, bon c'était pour te parler de
l'exposer, rdv ce week end chez toi vers 15h?"
Je n'en avais pas cru mes yeux au premier coup d'oeil, j'avais relu le message deux, trois, quatre fois avant de prendre conscience que c'était bien réel, que tout ça était la vrai vie, que June aller venir chez moi, qu'on aller travailler ensemble, peut être même parler, se confier deux trois choses parce que je la mettrais en confiance, parce que je la ferai se sentir bien avec moi. Je n'arrivais pas à croire que j'allais très prochainement faire parti de la vie de June Callery. J'avais répondu à Adrien que j'étais d'accord et qu'il n'y avait aucun problème. J'avais dit à ma grand mère d'emmené Théo faire un tour le temps qu'on travaillait, j'avais ranger l'appartement avant qu'ils arrivent, j'avais préparé l'espace de travail et essayé de calmer les palpitation de me coeur, j'avais attendu. J'avais attendu un moment, ils étaient censés arriver à 15h, il était 15h35. Je n'étais pas la fille la plus pointilleuse sur l'heure et les retards, j'étais moi même jamais vraiment très à l'heure, mais là, j'avais paniqué, je m'étais imaginé toutes les scène possible qu'il avait pu arriver à June ou même à Adrien pour qu'ils ne viennent pas. J'avais finalement reçu un message d'Adrien qui disait :
"Peut pas venir, ai eu problème, June arrive dans 10 min.
Bisous, désolé Alice, je viendrai la prochaine fois."
J'avais soufflé, plus légère, j'étais rassuré, ils ne leurs était rien arrivé de grave si Adrien avait pu m'envoyer un message,  puis, je pris compte du fait que finalement, June et moi allions nous retrouver seule toute les deux, en tête à tête dans l'appartement durant au moins deux heures.
J'entendis l'interphone sonné, prise de panique je couru dans l'entrée répondre.
-"Alice, c'est June, tu m'ouvres?" 
Je n'avais pas parlé, pas répondu, j'avais juste appuyé sur le bouton qui ouvrait la porte du rez de chaussé, j'avais attendu derrière la porte, paniqué qu'elle monte les quatre étages de l'immeuble. Je ne sais pas encore aujourd'hui si elle était monté très vite ou si j'avais perdu toute notion du temps, mais en même 5 min, elle toquait déjà à la porte.
Chapitre 2: Ce jour là ou je suis devenu folle de toi
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#Posté le dimanche 31 juillet 2011 21:27

Modifié le jeudi 04 août 2011 08:17

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